Non merci, ça sera sans moi
Et puis il arrive un jour où on dit :
« Non merci, ça sera sans moi »
Sans peur de perdre des gens,
sans peur de perdre la face,
sans peur de décevoir,
sans peur de s’exclure,
sans peur de devoir se justifier,
sans peur du qu’en-dira-t-on?
Mais avec l’intime conviction que c’est juste pour nous
et que ça fait du bien ce respect apporté à soi-même, c’est comme une bouffée d’air, d’oxygène, cette liberté d’être soi.
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